ETNA DE DANTE
Lait, apsaras, palais, tiare si aberrante
Et noce d’eau que vent n’allia… Véracité.
Lai, stèle, ichor, oh ciel ciguë, félicités !
Et nocturne écartèle Icare, pose Dante.
Noire la lune, terre ivre pelée suante ;
Noir, oublié, l’os nu sur un urus tracé ;
L’Etna, gestuel plissé, rai or, étal racé
(Là l’écarlate roi Arès s’il pleut se gante).
L’écart sur un urus, un soleil bu, Orion ;
Et nausée, l’épervier retenu, l’alérion,
Etna des opéra ciel et race en rut, contes.
Et ici le feu gicle, ichor, oh ciel et sial !
Et Icare, vaillant neveu qu’aède conte
Et narre, baiserait sial, apsara, spatial !
ESSE NON ESSE
Satin à vos revers, rose si aberrante
Et noce d’eau qu’évente une mère pudeur ;
Salta sel bis, rêver terre femme faveur
Et non-île sa côte en rêve dérivante ;
Ru à sec ni récits, l’os martelé, le pante ;
Rôle mort-né l’aveu que pisse la roseur ;
Et nadir, circaète essoré, nu à fleur,
Cruel faune rossé, été à cri, cri d’ante,
Rues, orales si peu. Que valent Rome, l’or,
Etna pelé, le tram, solstice rincé saur
Et navire de Verne, étoc à Sélinonte ?
Rue. Va, femme-ferret, réversibles Atlas,
Rue du Père Menuet, neveu qu’aède conte
Et narre ; baise, sors… Revers. O vanitas !